stefan Wul, né en 1922, est plus qu'un pionnier de la science-fiction franfaise. Il en est l'étoile, ou plutôt le météore, puisque à l'exception de Noô, paru en 1977, les douze romans qui composent l'essentiel de son oeuvre ont été publiés entre 1956 et 1959. Constamment réédités depuis, popularisés par les adaptations cinématographiques de René Laloux dans le cas d'Oms en série et de L'Orphelin de Perdide (devenus La Planète sauvage et Les Maîtres du temps), ils sont devenus des classiques du genre.
Une planète jungle où la vie prolifère, où les indigènes font peau neuve devant tout le monde, où les momies n'en finissent pas de mourir. Une atmosphère étouffante, un grouillement d'insectes, une race antique dont l'arche est moins perdue qu'il n'y paraît. Une expédition terrienne, deux aventuriers qui sont un peu chercheurs, un peu géologues... et un peu espions. Parviendront-ils à déjouer les soupçons de la police locale, à déjouer sa vigilance ? Il ne suffit pas d'entrer dans la peau d'un autre pour passer inaperçu dans cet univers. Encore faut-il en sortir avant que se referme le PIÈGE SUR ZARKASS.